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TDF 2023 – Etape 6 – Cracks d’hier et d’aujourd’hui

  • Franck Moreau
  • 6 juil. 2023
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 10 juil. 2023


Les étapes de montagne nous font un peu plus prendre conscience des performances de ceux qui prennent le départ. Il faut un premier et un dernier c’est évident, et entre les deux bon nombre de stratégies individuelles ou d’équipes pour mener à bien des objectifs divers et variés, et montrer le maillot avec la marque des sponsors partenaires.


Comme le profil de l’étape ces stratégies connaissent parfois des hauts et des bas, au gré des fortunes ou des aléas physiques que peuvent rencontrer les coureurs.


Pour le haut du panier, il y a aussi à prendre en compte la capacité pour celui battu la veille à pouvoir réagir ou bluffer pour berner ceux qui souhaiteraient lui mettre un peu plus la tête sous l’eau, et réduire à néant ses ambitions. Dès que le drapeau du départ est baissé, le scénario va alors s’écrire, tout le monde a en théorie préparé ses répliques, mais personne ne sait exactement s’il va pouvoir facilement ou non réciter son texte.


La vérité de la route prend alors forme sous nos yeux, jusqu’à la banderole d’arrivée, permettant ensuite aux annonceurs de monter les meilleurs moments et de l’appeler « le film de la course ».


Nous avons opté aujourd’hui pour un film justement, un film pour lequel nous avons une certaine tendresse, car Bourvil y est à l’affiche.


Ce film s’appelle « Les cracks », sorti en 1968, réalisé par Alex Joffé (qui a régulièrement mis à l’affiche Bourvil dans « Fortunat » avec Michèle Morgan ou encore « La Grosse Caisse » avec Paul Meurisse), et prend pour décor les routes d’une course au début du XXème siècle.


Bourvil y incarne Jules Auguste Duroc, inventeur d’un vélo révolutionnaire, qui se retrouve embarqué par un concours de circonstances sur la course Paris-San Remo, avec parmi les coursiers un certain Patrick Préjean (qui entre autres deviendra plus tard l’une des voix d’ « Il était une fois l’Homme ») Monique Tarbes en épouse, ou encore Robert Hirsch qui recevra plus tard un César pour son rôle dans « Hiver 54 Abbé Pierre ».


Cette comédie est ponctuée de gags en tout genre, du rire caractéristique d’un Bourvil aux impressionnantes bacchantes, et mérite d’y consacrer les deux petites heures pour en connaitre le résultat.

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